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Méandres ou la rivière inventée

Titre : Méandres ou la rivière inventée

Tous droits réservés

Réalisation : Marie Lusson [anthropologue, chercheuse à l’INRAE (UMR G-EAU)], Émilien De Bortoli [artiste]

Année : 2023

Durée : 90′

Pays : France 🇫🇷

Genre : documentaire

Langue : français

Musique : Émilien De Bortoli

Synopsis : Au milieu de l’été, une bande d’amis décide de descendre une rivière dans un radeau de fortune. Les obstacles, physiques et vivants, qu’ils rencontrent témoignent des transformations comme des altérations des cours d’eau par les humains. Mêlant road trip et parole scientifique, le film tisse des liens entre les mondes immergés et submergés dont les prismes multiples engagent une rencontre réparatrice entre humains et non-humains.

In the middle of summer, a group of friends decide to float down a river in a makeshift raft. The obstacles, both physical and living, that they encounter, bear witness to the transformations and alterations that man has made to the waterways. Blending road-trip and scientific discourse, the film weaves links between the submerged worlds, whose multiple prisms initiate a restorative encounter between humans and non- humans.

Mots-clés : documentaire, rivière, nature, amis, aventure, radeau, exploration, science, biodiversité, écosystèmes, changements, anthropocène, équilibres écologiques, fragilisation, restauration, sensorialité, sons, faune, flore, expériences

Liens utiles : https://www.lussasdoc.org/film-meandres_ou_la_riviere_inventee-1,56839.html

http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/68835

https://py-productions.com/#modal-meandres-ou-la-riviere-inventee

Où voir ce film ? https://vimeo.com/578475494 ; https://vimeo.com/578515356 (extraits de présentation)

Adrar, la fin des oasis ?

Titre : Adrar, la fin des oasis ?

Réalisation : Stéphane Bégoin

Écriture : Stéphane Bégoin, Maryem Ment Beyrouk

Année : 2010

Durée : 52′

Pays : France 🇫🇷

Genre : documentaire

Langue : français

Interprétation :

Musique : Éric Thomas

Synopsis : En Mauritanie, le désert du Sahara couvre la majeure partie du territoire. Il n’y pleut presque jamais, aucune rivière ne s’y forme. L’eau n’existe que sous forme souterraine, stockée dans les nappes phréatiques à plusieurs mètres sous terre. Pendant des centaines d’années, les populations nomades de ce désert ont utilisé les points d’eau et notamment les oasis qui leur permettaient d’apaiser leur soif, et d’abreuver le bétail. La grande sécheresse des années 70 a tout bouleversé. Là où les puits atteignaient l’eau à 3 mètres, il faut creuser maintenant jusqu’à 30 mètres. La crise de l’eau est là, ses conséquences seront terribles et peut être rapides. La population s’inquiète, les oasis sont elles condamnées à disparaitre? Face à l’urgence de la situation, des programmes d’aide sont mis en place par les autorité locales et internationales. Des hommes tentent d’apporter de nouvelles techniques, de modifier les comportements, d’informer, de persuader de l’ampleur de la crise. Mais le temps manque, les dunes se déplacent et envahissent les palmeraies.

Mots-clés : Mauritanie, désert, accès à l’eau, oasis, disparition, population, inquiétude, puits, nappe phréatique, crise, conséquences, informations, comportements, maraîchage, agriculture, urgence, aide, dunes, palmeraies, pauvreté, développement durable

Liens utiles : https://www.stephanebegoin.com/adrar-la-fin-des-oasis

https://www.lussasdoc.org/film-adrar_la_fin_des_oasis_-1,43848.html

Où voir ce film ? https://vimeo.com/17600107 (bande-annonce)

Acide [2023]

Titre : Acide

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Réalisation : Just Philippot

Scénario : Just Philippot

Année : 2023

Durée : 1h40′ (100′)

Pays : France 🇫🇷

Genre : fiction dystopique

Langue : français

Interprétation : Laëtitia Dosch, Guillaume Canet, Patience Munchenbach

Musique : Rob

Synopsis : Selma, 15 ans, grandit entre ses deux parents séparés, Michal et Élise. Des nuages de pluies acides et dévastatrices s’abattent sur la France. Dans un monde qui va bientôt sombrer, cette famille fracturée va devoir s’unir pour affronter cette catastrophe climatique et tenter d’y échapper.

During a heatwave, strange clouds start pouring down acid rain, wreaking devastation and panic throughout France. In a world teetering on the edge, a girl and her divorced parents must join forces to confront and try to escape this climate catastrophe.

Salma, de 15 años, vive junto a sus padres, separados, Michal y Élise. Unas nubes de lluvia ácida y devastadores descienden sobre Francia.  En un mundo que está a punto de hundirse, esta familia fracturada tendrá que unirse para afrontar esta catástrofe climática y poder escapar.

Mots-clés : canicule, pluie, acide, nuages, corrosion, dystopie, catastrophe, environnement, climat, destruction, fuite, famille, exode, adolescence, sacrifice

Ce long-métrage a été précédé d’une version en format court, sortie en 2018 : https://repreau.hypotheses.org/546

Liens utiles : https://www.unifrance.org/film/55471/acide

Dossier de presse (pdf à télécharger)

Où voir ce film ? https://youtu.be/bkf0iw_gnOY?si=PzzYtHQ0o0dG3Obc (bande-annonce)

La prophétie des grenouilles

Titre : La prophétie des grenouilles

Tous droits réservés
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Réalisation : Jacques-Rémy Girerd

Scénario : Jacques-Rémy Girerd, Antoine Lanciaux, Iouri Tcherenkov

Année : 2003

Durée : 90′ (1h30′)

Pays : France 🇫🇷

Production : Folimage

Genre : fiction dystopique animée (fiction diluvienne)

Technique : dessin sur papier

Distribution (voix) : Michel Piccoli, Laurentine Milebo, Anouk Grinberg, Michel Galabru, Annie Girardot, Luis Rego, Manuela Gourary, Jacques Higelin

Noir et blanc / couleur : couleur

Musique : Serge Besset

Synopsis : Le thème du déluge, largement inspiré du récit biblique de l’arche de Noé, est le fil rouge du film. Des grenouilles, ayant découvert qu’il va pleuvoir pendant 40 jours, en informent les humains par le biais de deux enfants : Tom et Lili. Avec l’aide de Ferdinand, le père adoptif de Tom, un vieux marin, et de sa compagne africaine Juliette, ils vont tenter de sauver le zoo des parents de Lili, partis en Afrique à la recherche de crocodiles.

At the end of the world, away from it all, a family lives peaceably on a neat little farm perched high up on a hill. But down at the foot of that hill, the frog world is in disarray: there is no doubt, everything points to one thing, another flood is on its way. Faced with this drastic situation, the frogs decide to break with tradition and talk to the humans. Here begins a great adventure story where animals and humans learn to live together. Not always an easy thing to do…

Mots-clés : pluie, déluge, animation, récit diluvien d’inspiration vétéro-testamentaire, catastrophe, grenouilles, famille, enfants, animaux, zoo, sauvetage, cohabitation

Âge conseillé : dès 6 ans

Liens utiles : https://www.folimage.fr/fr/films/la-prophetie-des-grenouilles-43.htm

https://www.reseau-canope.fr/notice/la-prophetie-des-grenouilles.html (dossier pédagogique  téléchargeable sur ce site)

Où voir ce film ? https://youtu.be/pYBPhnliGPI?si=9YGgpYKXwvrkcccR (bande-annonce)

There’s Something in the Water

Titre : There’s Something in the Water

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Réalisation : Ian Daniel, Elliot Page, d’après le livre éponyme d’Ingrid Waldron (There’s Something in the Water: Environmental Racism in Indigenous and Black Communities, 2018)

Année : 2019

Durée : 73′ (1h13′)

Pays : Canada 🇨🇦

Genre : documentaire

Langue : anglais

Interprétation / casting : Elliot Page, Ingrid Waldron, Louise Delisle, Dorene Bernard, Michelle Francis-Denny, Jolene Marr, Michelle Paul […]

Synopsis : Born and raised in Nova Scotia, Oscar and Emmy award-nominated actor-director Ellen Page and co-director Ian Daniel engage in deeply personal and political dialogue with women at the forefront of some of Nova Scotia’s most urgent environmental crises. Based on the book of the same name by Ingrid Waldron, There’s Something in the Water explores the topic of environmental racism, poignantly shining a light on the Canadian government’s current and historical decisions to prioritize the profits of large corporations over the health of indigenous and black communities.

Ellen Page, actrice-réalisatrice nommée aux Oscars et aux Emmy Awards, et Ian Daniel, coréalisateur, naissent et grandissent en Nouvelle-Écosse et engagent un dialogue profondément personnel et politique avec des femmes qui se trouvent au premier plan de certaines des crises environnementales les plus urgentes de la Nouvelle-Écosse. Basé sur le livre éponyme d’Ingrid Waldron, There’s Something in the Water explore le thème du racisme environnemental, mettant en lumière de manière poignante les décisions actuelles et historiques du gouvernement canadien de donner la priorité aux profits des grandes entreprises plutôt qu’à la santé des communautés indigènes et noires.

Mots-clés : accès à l’eau, environnement, Canada, Nouvelle-Écosse, population indigène, Afrodescendants, communautés autochtones, racisme environnemental, gouvernement canadien, santé, industrie, toxicité, pollution, déchets, impact, populations, cancers

Où voir ce film ?  https://youtu.be/nKhIYFDnCoY?si=VMkQRiFm2kXpzB_G (bande-annonce, en anglais)

Reflection: A Walk with Water (Californie, les pélerins de l’eau)

Titre : Reflection: A Walk with Water (Californie, les pélerins de l’eau)

Tous droits réservés

Réalisation : Emmett Brennan

Année : 2021

Durée : 80′

Pays : États-Unis 🇺🇸

Genre : documentaire

Langue : anglais (USA)

Interprétation / casting : –

Musique : Justin Kauflin, Jacob Collier

Synopsis : Les conditions qui rendent la vie possible évoluent rapidement. Conscient de cette réalite et à l’aube d’une nouvelle saison sèche qui pourrait bien ravager sa communauté, le cinéaste Emmett Brennan entreprend un voyage de 300kms le long de l’ancien aqueduc de Los Angeles afin de trouver de l’espoir. Ce qui commence par une randonnée se transforme rapidement en un regard profond sur la relation de l’homme avec l’eau.

The conditions that make life possible are rapidly changing. Reckoning with this reality on the cusp of a record-setting dry season, filmmaker Emmett Brennan embarks on a powerful journey to find stories of hope and healing. Brennan sets out to walk 200 miles next to the iconic Los Angeles aqueduct. Along the way he encounters cultural leaders, ecological iconoclasts, and indigenous wisdom keepers who are re-envisioning our relationship to water. The water cycle is being broken, they say, and the consequence is an increasingly erratic and uninhabitable planet.

Mots-clés : eau, Californie, ressource, rareté, sécheresse, pèlerinage, marche, aqueduc, environnement, écologie, réflexion, documentaire, cycle, sagesse, relation à l’eau

Liens utiles : https://www.reflectionfilm.com/

https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/67795

Où voir ce film ? https://vimeo.com/ondemand/reflectionawalkwithwater (bande-annonce, en anglais)

https://vimeo.com/ondemand/reflectionawalkwithwater (en VOD)

Le Temps des Ogres

Titre :  Le Temps des Ogres

Tous droits réservés

Autrice :  Michelle Montmoulineix (texte),  Ninn Salaün (illustrations)

Éditeur : Actes Sud (collection Hélium)

Ville(s) : Arles

Pays : France 🇫🇷

Année : 2023

Nombre de pages :  160 p.

Genre : fiction dystopique

Résumé : En quelques décennies, la sécheresse a étendu son empire au-delà de l’horizon. Victoire a 13 ans et ne connait pas le doux bruit de la pluie… Forcée de fuir son village pour échapper aux Patrouilleurs, qui contrôlent le peu d’eau restant, elle décide de suivre le lit de la rivière, transformé en chemin creux. Elle espère ainsi, comme ses parents et son ami d’enfance avant elle, rejoindre le lac Baïkal, dernier réservoir d’or bleu de la planète. Mais elle se trompe de direction et, après bien des rencontres apportant chacune leur lot d’aventures, elle se retrouve au pied d’un cargo échoué, qui semble habité…

Âge conseillé : à partir de 13 ans

Mots-clé : sécheresse, roman, dystopie, adolescente, lac, désert

Citation : “En quelques décennies, la sécheresse avait étendu son empire au-delà de l’horizon, siroté les sources souterraines et les nappes phréatiques, aspiré la rivière, siphonné les mares, rongé les prés, anéanti les troupeaux et la plupart des animaux domestiques en cages ou prisonniers des clôtures. Elle avait décimé les plantes et les animaux sauvages.”, p. 7.

Liens utiles : https://www.actes-sud.fr/catalogue/jeunesse/le-temps-des-ogres

Tara

Titre : Tara

Tous droits réservés

Réalisation : Volker Sattel (*1970), Francesca Bertin (*1985)

Année : 2022

Durée : 1h 26′(86′)

Pays : Allemagne, Italie 🇩🇪 🇮🇹

Genre : documentaire

Langue : italien

Interprétation : Jasmine Pisapia, Valentina Loconte, Silvano Lenti, Dennis Lemma, Simone Sedete, Simone Colace, Francesco Viesti, Paola Cacciatore, Nicola Galoppo, Tonino Guidetti, Alfonso Viesti, Elisa Fernando Locorotondo, Adriana Sellani, Vito De Filippis, Enza Tomaselli, Cataldo Ranieri, Marco Tomasicchio, Christian Durante, Agostino Zagometti, Cataldo Stante, Donato Bruno, Monica Semeraro, Adele Dell’Erba, Vincenzo Romito, Ugo, Francesco Leggieri, Manuela Schininà, Tamara Sedete, Egidio Taglio, Emanuele Peluso, Emiliano Sammarco, Isabella Mongelli

Synopsis : La Tara, une rivière près de Tarente aurait des propriétés curatives; sʼy baigner est une tradition pour ses habitants, dans un territoire où les mythes se heurtent à la réalité et où le soi-disant “progrès” a fait payer un lourd tribut à la nature et à la société.

“La Tara est une petite rivière à la périphérie de Tarente, ville fondée il y a 3 000 ans sur les rives italiennes de la mer Méditerranée. Elle tire son nom de Taras, fils mythique de Poséidon, dieu de la mer. Ses eaux sont très appréciées des habitants, qui leur attribuent des pouvoirs magiques de guérison. Partant de ces images idylliques, le film nous mène dans une ville et une terre sacrifiées au nom du progrès. L’aciérie située à quelques kilomètres a fait de nombreuses victimes et créé de profondes fractures dans le tissu social de Tarente. Malgré cette sombre présence, plusieurs habitants se battent pour faire perdurer les espoirs d’une ville autrefois surnommée “la perle de la Méditerranée”.  Les réalisateurs Volker Sattel et Francesca Bertin rejettent la dynamique de l’enquête, adoptant plutôt pour leur film la forme d’un dialogue ouvert avec ceux qui luttent au quotidien pour le bien-être de ce territoire et de ses habitants. Dans ce voyage improvisé, la caméra capture des moments où traditions et mythes se heurtent au développement économique, considéré à tort comme du progrès. Avec attention et empathie, Tara saisit ainsi les contrastes et les teintes subtiles d’un lieu trahi, mais rebelle. [source : Rebecca De Pas – Visions du Réel]

Liens utiles : https://tarafilm.cargo.site/

https://kirbergmotors.de/TARA-Volker-Sattel-Francesca-Bertin-Visions-du-Reel-2022

https://www.visionsdureel.ch/film/2022/tara/

https://francescabertin.com/Tara

Où voir ce film ? https://vimeo.com/714950098 (bande-annonce, en italien avec des sous-titres en allemand)

https://youtu.be/osRc0ThGrZM (bande-annonce, en italien avec sous-titres en anglais)

La Sangre de Bolivia – De los Andes a la Amazonia (Eau Secours – Des Andes à l’Amazonie)

Titre : La Sangre de Bolivia – De los Andes a la Amazonia (Eau Secours – Des Andes à l’Amazonie)

Tous droits réservés

Réalisation : Julia Blagny

Année : 2021

Durée : 52′

Pays : France 🇫🇷

Genre : documentaire

Langue : espagnol

Musique : Antonio Perez, Marco Antonio Peña

Synopsis : L’eau est la source de toute forme de vie. Mais elle peut devenir dangereuse si l’on cherche à contrôler son flux. Elle peut même devenir poison quand les hommes y déversent mercure, arsenic… Les rivières de Bolivie, qui sont les veines du cœur de l’Amérique du Sud, se teignent de rouge, de gris et vont même jusqu’à disparaître. Les habitants de différents peuples de Bolivie et des spécialistes nous avertissent : l’accès à une eau potable est chaque année plus difficile. Si nous ne traitons pas l’eau avec respect, nous voguons à notre perte, en Bolivie comme ailleurs. Ce documentaire ouvre une fenêtre sur une réalité bolivienne et illustre une urgence mondiale.

Water is the essence of all life. But it can turn into danger, when men want to control its flow. And it can even become poison when they put mercury, arsenic… The rivers of Bolivia – the veins of the heart of South America – are turning black, red and even disappearing.  Community members and specialists warn of these realities.  In the Beni River, mega dam projects and the massive use of mercury endanger the Amazon ecosystem.  In Huanuni, community members who live near the mines express their concern when seeing their territory destroyed by corrupted waters. In Cochabamba, an emblematic city for its Water War, the vital liquid continues to be a daily concern for the population.  The water from the dams destined for La Paz and Alto is contaminated and follows its deadly cycle to Lake Titicaca. The issue of water is becoming more worrying every year and by not treating this vital element with respect, we embark on a critical situation, in Bolivia or worldwide.

Mots-clés : Bolivie, fleuve, pollution, mines, barrages, mercure, arsenic, couleur, poison, menace, biodiversité, Andes, eau, environnement, prise de conscience, santé publique, lac Titicaca

Liens utiles : https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/67822

Où voir ce film ? https://youtu.be/wiiccjutBwc (bande-annonce, en espagnol avec sous-titres en français)

Om Layoun (La Mère des Sources)

Titre : Om Layoun (La Mère des Sources)

Tous droits réservés

Réalisation : Habib Ayeb

Habib Ayeb est géographe, chercheur et professeur émérite à l’Université de Paris 8 à Saint-Denis. Spécialiste en géographie sociale, ses domaines de recherche portent entre autres sur la souveraineté alimentaire, l’environnement, les questions paysannes, le changement climatique, la marginalité et la pauvreté, les dynamiques de résistance. [source : https://www.imarabe.org/fr/cinema/om-layoun]

Année : 2021

Durée : 1h22′ (82′)

Pays : Tunisie, Allemagne 🇹🇳 🇩🇪

Genre : documentaire

Langue : arabe, français

Synopsis : L’accès à l’eau est un droit humain fondamental qui ne peut souffrir aucune condition ou limitation… Om Layoun, ou La Mère des Sources, est un film documentaire qui vise à ouvrir un débat de société, en Tunisie et ailleurs, sur la nécessité absolue et urgente de mieux gérer les ressources en eau disponibles, à travers l’adoption de nouveaux modèles économiques orientés vers plus de justice hydrique, écologique, sociale, intergénérationnelle et économique. Le film Om Layoun est construit sur une idée simple : l’eau est un bien commun à l’ensemble de l’humanité dont l’accès, à hauteur des besoins, est un droit humain fondamental qui ne devrait souffrir d’aucune condition préalable. Condition nécessaire à la vie biologique et sociale, l’eau ne doit en aucune manière être considérée comme une marchandise commercialisable, comme c’est le cas aujourd’hui. C’est ce que Om Layoun tentera de démontrer, de discuter et de défendre en montrant des situations de gaspillages scandaleux et/ou de privations choquantes induites par les mécanismes internes du marché de l’eau et, plus généralement, par le modèle économique extractiviste dominant.

Aims to open a social debate, in Tunisia and elsewhere, on the absolute and urgent need to better manage the available water resources, through adoption of new economic models oriented towards more water, ecological, social, inter generational and economic justice.

Mots-clés : documentaire, eau, accès, Tunisie, gestion, ressource, débat, justice hydrique, générations, partage, besoins, privatisation

Liens utiles : http://africultures.com/films/?no=23251

Où voir ce film ? https://youtu.be/ONVOXJetHI4 (bande-annonce avec sous-titres en français)

https://vimeo.com/545121973 (bande-annonce avec sous-titres en anglais)

https://vimeo.com/376513819 (extrait)